dimanche 30 septembre 2012

mercredi 26 septembre 2012

mercredi 12 septembre 2012

De l'amertume du café. Ou comment Gilbert Collard m'a gâché la soirée.


Un soir comme tant d’autres, monter dans la voiture, prendre le chemin du retour après une journée de travail ni pire ni meilleure que tant d’autres écoulées.

Un soir normal.

Rien ne pouvait laisser penser qu’un geste aussi anodin que celui de mettre la radio aurait pu me gâcher ce début de soirée.

Généralement sur le chemin du retour je me branche sur Europe1, l’heure d’Europe1 soir (non, non ce n’est pas un billet sponsorisé). Non, le truc c’est que je suis quasiment coupé de toute source d’information pendant la journée et que cette émission est un bon moyen de me remettre à niveau sur les événements de la journée. Ceci posé, venons en au sujet de ma colère de ce soir.

Un court extrait de l’intervention de Gilbert Collard cet après-midi à l’Assemblée nationale a suffit.


Décidément, je ne me ferai jamais ni à la rhétorique du FN ni aux vues de ses sympathisants. Les effets de manches de ce député ; même s’il figure parmi les non-inscrits ; si éloquent soit-il, ne me feront pas changer d’avis.

samedi 8 septembre 2012

Bistro ou bistrot ?


Une question essentielle (je vous souhaite de ne pas avoir de plus grande préoccupation) me taraude l’esprit depuis plusieurs jours. Lecteur assidu de Partageons nos agapes, j’ai depuis longtemps constaté que Nicolas tient absolument à ce qu’il n’y ait pas de « t » à la fin du mot « bistro ». 

Hérésie ou juste orthographe ?

Toujours est-il que j’ai cherché ici ou , les deux orthographes coexistent dans les différents dictionnaires


Une aimable personne sur Twitter, répondant à ma légitime interrogation, m’a même proposé une anecdote tendant à attester que Nicolas utilise la bonne graphie.


On s’en fiche finalement.

Je vais continuer à mettre un « t » à la fin du mot « bistrot » ce qui me permet de former « bistrotière » et « bistrotier » qui désignent les aimables tauliers qui me supportent quotidiennement. Je vais continuer à utiliser le verbe « bistroter » (qui n’existe que dans mon vocabulaire sans doute) et qui désigne l’action d’user ses coudes sur les comptoirs.

Et continuer à hanter les bistrots, ces hauts lieux de civilisation.