Pas de photo de ciel aujourd’hui.
mercredi 29 mai 2013
29 mai 2013, une belle journée en France.
mardi 28 mai 2013
lundi 27 mai 2013
dimanche 26 mai 2013
samedi 25 mai 2013
Pelle des villes vs pelle des champs.
Mon éminent confrère Nicolas
en plus d’analyser quotidiennement la vie politique et de nous proposer son
regard éclairé sur bon nombre de geekeries nous régale de temps à autre d’un
billet savoureux sur son quotidien.
Le billet du jour sur son
dernier achat, une pelle à ordure, m’a fait tilt tout de suite.
Figurez vous que j’ai un fils,
jusque là rien que de très normal.
Si vous ne voyez pas le rapport
avec la pelle à ordures, attendez deux secondes, ça va venir.
Donc j’ai un fils, lequel fils
depuis qu’il est tout minot est un grand adepte de la cuisson de tout un tas de
trucs au barbecue. Cette andouille, mon fils, a la manie de se servir de la pelle
pour attiser le brasier. En règle générale il y met tellement d’énergie que :
1/ Il
gagne une ampoule au pouce (ces jeunes ont la peau fragile c’est bien connu),
dénommée la « cloque du barbecue ».
2/Il
casse régulièrement le manche de la malheureuse pelle en plastique.
3/ Il
se prend une soufflante.
4/ Je
me retrouve avec une pelle inutilisable et un nombre incalculable de ces
fameuses balayettes vendues avec les pelles et dont je ne sais plus que faire.
J’ai donc résolu de me
procurer un truc indestructible dont vous avez la photo en illustration de ce
billet.
Vous avez noté je pense la
robustesse de conception de cet outillage ménager issu du savoir faire de la
maison Gouvy fondée en 1751. Le manche tourné en véritable bois...d’arbre, la
qualité de la peinture rouge vif cuite au four apposée sur le métal embouti de
2mm d’épaisseur, un truc quasi inaltérable même après plusieurs années d’usage intensif.
Bref la Rolls des pelles !
vendredi 24 mai 2013
jeudi 23 mai 2013
mardi 21 mai 2013
Où je m'interroge. (acte I, scène 2)
Dans la série naissante des
billets inutiles et pas chers ; il me faut bien l’avouer, paresseux que je
suis ; voici venue l’heure de vous secouer les méninges avec la question
inutile (mais essentielle) du jour.
Vous êtes sans doute comme
moi, il vous arrive d’aller faire un tour de frigo ou de scanner les rayons des
armoires à la recherche d’un truc rapide à vous mettre sous la dent, lequel
truc ne nécessitera ni les compétences d’un maître queux ni trois plombes de
glougloutage à petit feu dans la cocotte en fonte héritée de votre arrière
grand-mère.
Ben oui, nous n’avons, ni vous
ni moi, été touchés par la grâce comme ont pu l’être Anne-Sophie Pic ou Jean-François
Piège (je suppose également qu’en plus de la grâce, il y a aussi et surtout une
masse de boulot considérable derrière la beauté des mets que ces artistes
mettent en scène).
Donc pour les plus mal
embouchés d’entre nous il ne reste qu’à user parfois de machins tout faits et
de jurer « nom d’un petit bonhomme » quand un de ces bidules se met
comme de juste à faire de la résistance.
La question du jour est :
Pourquoi les emballages sur lesquels il est inscrit « OUVERTURE FACILE »
pour appâter le consommateur crédule sont-ils si difficiles à ouvrir ?
samedi 18 mai 2013
mercredi 15 mai 2013
Où je m'interroge.
Cela fait quelques jours que
je me pose une question essentielle. Bah oui, vous commencez à me connaitre
maintenant, je suis le spécialiste des questions inutiles (mais essentielles)
auxquelles il n’y a bien souvent pas de réponse.
Ou alors tellement de réponses
possibles, que je finis par ne plus savoir quelle était la question de départ.
(J’ai aussi la mémoire qui déraille de temps en temps... l’âge sans doute)
La question du jour est :
Pourquoi y a-t-il autant de photos de chat sur internet ?