lundi 30 septembre 2013 18h01 |
lundi 30 septembre 2013
vendredi 20 septembre 2013
dimanche 15 septembre 2013
vendredi 13 septembre 2013
Quand Marine Le Pen attaque un blogueur en justice.
Hier j’ai failli tuer le petit bonhomme. Un moment de
lassitude. A quoi bon continuer l’aventure de ces pages qui n’ont eut d’autre intérêt
que celui de m’amuser un moment.
Quelques heures plus tard, entamant une nouvelle revue de
blog, je tombe sur ce billet de Politeeks dans lequel j’apprends que Marine Le
Pen porte plainte pour injure publique contre lui.
Même si je le lis régulièrement, je ne connais pas personnellement
ce blogueur, je n’ai donc d’autre intérêt à le soutenir que celui de dire de
qui se moque-t-on ?
Car enfin, à bien relire le billet incriminé on s’aperçoit
bien vite que la plaignante n’y est nulle part désignée par ses nom et prénom. Et
je vois déjà les chicaneurs forts en gueule arriver avec leurs gros sabots et
leurs gros bras, arguant le fait que l’injure vise bien la présidente du FN. Je
les invite très cordialement à venir m’expliquer à partir de quelle grille de
lecture ils en sont arrivés à la conclusion que « la truie lepeniste »
désigne Marine Le Pen.
Marine Le Pen l’a bien compris, elle se doit de policer son
discours, elle sait également que si elle souhaite pouvoir prétendre un jour à la plus haute fonction de notre pays elle se doit également de ne pas
céder aux écarts dont son père était coutumier. Et c’est bien en cela qu’elle
est dangereuse : elle ne fait plus peur. Elle séduirait même de plus en
plus.
Il n’empêche que si la dame se contient, ses affidés, eux,
ne se font pas faute de polluer l’espace avec leurs sorties nauséabondes.
Et elle voudrait faire un exemple en faisant museler un
blogueur ?
Allez donc, madame Le Pen, balayer devant votre porte !
dimanche 8 septembre 2013
jeudi 5 septembre 2013
mercredi 4 septembre 2013
"L'importance d'une mémoire réconciliée" Joachim Gauck
Deux images hautement
symboliques.
Photo : Jean-Pierre Muller. AFP
mardi 3 septembre 2013
Juste la beauté de ses mains.
Je n’aime rien tant que flâner au hasard dans les rues des villes inconnues. Marcher
sans but précis, le nez en l’air souvent ; une vieille manie ;
m’arrêter sur des petits riens, me perdre parfois, revenir sur mes pas, marquer
un arrêt encore.
Puis me poser à la terrasse
d’un bistrot, de préférence à l’angle de deux rues. Le temps d’un café et d’une
cigarette fumée lentement écouter le bruissement de la ville. Entamer parfois
une de ces conversations sans importance avec mon voisin de table, prendre un
autre café, culpabiliser (un peu) en allumant une autre cigarette. Temps
arrêté. Presque.
Vacance.
Reprendre ma marche lente, l’œil
toujours un peu vagabond. Au détour d’une ruelle un peu en pente, pousser la
porte d’une petite boutique.
Tomber sous le charme des
pièces de poterie exposées ; découvrir l’odeur de la terre humide.
Levant un instant la tête de son ouvrage, une jeune femme m’adresse un sourire. Je l’ai à peine vu ce sourire là.
Levant un instant la tête de son ouvrage, une jeune femme m’adresse un sourire. Je l’ai à peine vu ce sourire là.
L’espace d’une heure cette
jeune artiste m’a fait partager sa passion pour la terre, m’a fait découvrir l’art
subtil du décor.