mercredi 4 septembre 2013

"L'importance d'une mémoire réconciliée" Joachim Gauck

Deux images hautement symboliques.

Oradour-sur-Glane aujourd’hui, Douaumont en 1984.


Photo : Jean-Pierre Muller. AFP


5 commentaires:

  1. Oui. C'est beau. C'est un peu l'objet de mon billet de ce soir.

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    1. Je viens de passer lire chez toi.
      Ça peut sembler un peu idiot écrit comme ça, mais j'ai eu des frissons en regardant les images de cette visite. Je me suis souvenu aussi (mais qui ne s'en souvient pas ?)de cet autre moment d'histoire d'il y a presque trente ans.
      Des pages se tournent.Reste la mémoire.

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    2. Je n'ai pas eu de frissons' l'image est de mauvaise qualité et tout ça mais je pourrais raconter des fous où j'ai eu des frissons (tiens ! Je vais le faire maintenant. Les blogueurs supporters de Hollande ont été reçu en début d'année à l'Elysee. Après manger, je voulais fumer une cigarette. Je danse aux pompiers de service. Ils m'envoient dans la cour d'honneur de l'Elysée. J'étais seul avec un jeune blogueur, Louis, aussi originaire de Loudéac mais c'est le hasard, ce qui n'empeche pas qu'afffectivement, c'est un peu mon protégé). La parenthèse était trop longue, je la ferme.

      Je ne sais pas si tu peux te rendre compte de l'émotion ressentie à ce moment, tous les deux, seuls, dans la cour du palais, ce haut lieu de l'histoire.

      Bref. Les frissons, ça va ça vient. Des connards ont dénoncé une opération de communication de Hollande, ils ont évidemment raison, tout est orchestré. Mais je suis sûr que Pépère était réellement ému. Et que le moment était réellement historique.

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    3. Fumer une clope, jusque là ça va, je connais; dans la cour d'honneur de l'Elysée j'ai un peu plus de mal à visualiser. (Pas la cour hein !)
      Blague à part je comprends assez bien ce que tu as pu ressentir à ce moment là.
      Je sais bien que les grandes lignes de cette cérémonie étaient écrites d'avance, qu'importe, je suis certain que ces trois hommes n'oublieront jamais ce moment.
      Je crois aussi que j'y penserai encore longtemps aussi.

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