Ásgeir
Gros coup de cœur pour ce
jeune artiste il y a quelques semaines, un coup de cœur que je me suis empressé
de partager dans mes magiciens du samedi.
Tu sais combien souvent à une
chanson s’attache une histoire, ne me dis pas que tu n’as pas dans un coin de
tête cette petite madeleine genre celle de Proust (et ne viens pas non plus me
raconter que tu as une tête bien faite, presque ronde, et qu’il n’y a pas de
coin dans un machin rond parce que là tu vois on ne va pas être d’accord, y’a
forcément des coins et peut-être même des recoins....)
Mon histoire avec Ásgeir est encore
trop jeune cependant pour qu’il y ait des souvenirs ou des anecdotes qui s’y
rattachent, juste quelques minutes de plaisir, une ambiance un peu douce qui a
accompagné mes fins de soirées ici ou là. Un dernier morceau comme on prend un
dernier verre.
Arrivé là, comme je suis un
incorrigible paresseux, je m’en vais te faire un copié/collé magistral d’un
précédent billet.
N’aies pas peur, tu ne vas pas
tomber dans une espèce de faille spatio-temporelle ni aller te perdre dans les
profondeurs insondables du net.
T’es prêt ? Zou, on y va.
Copiage/collage
Je te plante juste le décor du
clip. Une atmosphère à la Sautet. Des demi-teintes presque effacées.
La rue luisante de pluie en
toile de fond, quelques rares passants pressés sous des parapluies, une salle
de bistrot. Quelques bruits de tasses qu’on choque. Ne manque que la bande
d’amis pour compléter l’illusion.
Et ces deux voix, juste posées
sur les notes qui s’échappent doucement.
Laisser agir la magie
Si tu veux plus de sons, remonte un peu, dans la colonne de gauche tu cliques sur la radio dans le gros carré jaune et hop tu as tous les morceaux de la #radiodesblogueurs. Magique non ?
A ce stade il me faut convier
quelques camarades de jeu à participer à l’œuvre de l’ami lolobobo.
Alors cette année sont invités
par le petit bonhomme :
- Petit Louis