Et non, le petit bonhomme n’est
pas mort !
Il a traversé quelques tempêtes,
bien souvent il a plié, presque prêt à rompre, à disparaître et puis….
Et puis….et puis la vie reprend
le dessus, doucement.
Le vent parvient encore parfois
à s’engouffrer, à le faire vaciller. Un air mordant, cru, juste là entre le col
relevé de l’éternel manteau noir et la peau tendre du cou.
Une fois encore c’est Guy qui m’a
donné envie de revenir. J’ai relu son livre il y quelques jours. Mais plus
encore que cette énième lecture, ce sont d’autres accents qui m’ont fait retrouver le chemin du Petit
bonhomme.
Ibrahim Maalouf
Un très grand.