Amis de la touite bonjour ! pic.twitter.com/kltyfqg1OI— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Tu vois, parfois la journée commence comme ça, une photo, un café, un clin d'œil à ceux qui passent. Tranquille.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Tu traînailles un peu, il fait beau déjà, juste une légère brise qui entre par la baie grand ouverte et qui te caresse la nuque.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Donner un œil distrait aux nouvelles. Ça va. M'enfin ça va. On le sait toi et moi que c'est le bordel un peu partout.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Que les dingos sont tapis, là pas loin. Peut-être juste à côté. Mais il faut continuer. Surtout continuer ! Vivre avec....— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Puis tu te dis que les cafés à la cool sur la terrasse c'est bien mais que la pelouse ne va se tondre toute seule.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Que la petite haie en arc de cercle aurait bien besoin d'un coup de cisailles. Zou ! Au taf !— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Une heure, deux heures se passent. Le camarade soleil tape un peu mais ça va, on va pas se plaindre non plus. Et puis c'est pas le bagne.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Voilà, le petit boulot est fini, tout est nickel pour quelques jours. Il est presque midi. Peu importe. Un autre café.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Putain ! Qu'il est amer celui-là. Deux tarés dans une église. Je lis, je cherche un peu. Des morts. Encore.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
L'équilibre du jour est rompu. Une fois de plus la barbarie a parlé. Au nom de quoi ? Au nom de qui ? Pour quel idéal ?— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Dépassé, je suis dépassé par toute cette haine. Dépassé par l'attitude de ceux qui ne manqueront pas d'essayer de se mettre en avant.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Choqué par l'attitude de ceux-là qui oublient la dignité face à l'horreur. Récupération. Pointer "l'autre" du doigt.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Nous allons encore vivre des heures sombres, je le sais. Tu le sais aussi. Les mots sont impuissants à dire ma peine.— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016
Peut-être juste écrire #continuerensemble— José Defrançois (@DefrancoisJose) 26 juillet 2016