vendredi 28 juin 2013

Night fever dans la #radioblogueurs2013

Cela fait déjà quelques semaines que j’ai en tête les morceaux que je souhaite partager dans la radio des blogueurs. Bien avant que mes camarades de jeu n’aient la gentillesse de me taguer dans cette sympathique chaîne. Bien avant aussi que lolobobo ne fixe les règles. Bien avant que je ne change d’avis samedi dernier. On y reviendra plus tard.

Un seul morceau accordé à chaque participant ?

Je n’ai jamais été très obéissant comme genre de garçon. Et puis après tout, je ne suis qu’un petit bonhomme, j’ai (un peu) le droit d’en faire à ma tête.

Ce sera trois. Si le taulier du bouzin est sympa il me fera bien une petite fleur.

Et sinon, si toi aussi tu veux participer à cette grande œuvre je te mets la marche à suivre ici.

Je disais en préambule que ça fait un moment que j’ai les titres en tête, un sacré bout de temps même. Ces titres viennent du passé, d’un lointain passé.

Printemps 1983 pour le premier.

Je te plante le décor du souvenir : Le temps des chevauchées presque fantastiques en 103 SP, une grande baraque dans la petite ville d’A..., entièrement vide (la maison, pas la ville ! Suis un peu !), vouée qu’elle était à la destruction dans le cadre de la restructuration du centre ville (j’y suis retourné il y a peu, un désert...), les parents d’un pote nous laissaient la maison en attendant qu’elle soit rasée, il ne nous a pas fallu longtemps pour y organiser quelques fiestas. Quand les gus sont venus pour démolir la maison, ils n’ont pas eut beaucoup de boulot avec l’intérieur, nous avions déjà fait l’essentiel, genre loft avant l’heure... Tu vois un peu la gueule du truc ? Mémorable.

Mais si certains détails commencent à s’estomper, un son reste. Pas un truc franchement génial, un peu répétitif même, mais va savoir pourquoi, peut-être le nom du groupe ? Le morceau est resté dans un petit coin de ma vieille tête.



On passe à autre chose.

Pas vraiment de souvenir attaché à cet autre morceau si ce n’est que ce machin m’amusait beaucoup à l’époque avec ce drôle d’olibrius sautillant sorti de je ne sais où. Sauf à donner un aperçu de ce qui se jouait en ces temps reculés, il est bien entendu que musicalement il n’y a rien de révolutionnaire mais je compte bien que ce truc vous reste en tête quelques heures.



Si tu as tout bien suivi, je t’ai dit un peu plus haut que j’ai changé d’avis samedi dernier.

Il est assez rare que j’écoute la radio, à part un coup d’Europe1 le matin et le soir en voiture pour les news et basta. Autant dire que je suis aussi au courant des derniers trucs en vogue que si je venais de faire un voyage du côté de l’étoile HR 8799 (Oui, oui ! Je te vois là bas dans le fond en train de douter du truc. Ça existe !).

J’étais donc de service taxi pour ados samedi soir, la route du retour me semblait un peu longuette, une pichenette plus tard sur le bouton de l’autoradio et hop retour en 1982, ambiance disco et boule à facettes dans la chariote ! Le trajet s’en est trouvé soudainement raccourci...


What else pour bien commencer l’été avec des paillettes dans les oreilles ?

Bon tu as vu, c'est pas compliqué, tu trouves quelques trucs à raconter, une vidéo et hop ! Joie dans les esgourdes ! Au boulot les gens !

samedi 1 juin 2013

Des ânes chez Yanobs Reader.

Je ne décolère pas.

J’ouvre ma boîte mail en fin d’après-midi et là une avalanche de messages de Yanobs Reader, j’ai arrêté de les dénombrer à 71 ...et ça a continué encore un petit moment après que je me sois lassé de les compter. Je me suis seulement pensé qu’une de leur machine était devenue folle ou qu’un des gars devait s’ennuyer, avait un peu picolé et avait décidé de me pourrir la vie.



Bon que ces gens souhaitent passer à un modèle payant, soit, c’est le business, je n’ai pas de problème avec le fait qu’une société ait envie de gagner du pognon. Libre aux potentiels utilisateurs de faire ce choix.



Le problème est ailleurs et Nicolas dans un de ses billets l’a très justement fait remarquer, ces ânes ont tout simplement divulgué les adresses mails des utilisateurs !

Je n’ai jamais vu un tel manque de professionnalisme, une telle désinvolture est tout simplement inadmissible !

Dommage, je m’étais presque fait à l’idée d’utiliser leurs services.

Après ça, qu’ils aillent se faire...