Comme l’ami Nicolas, je me
demandais d’où pouvaient bien sortir les cartes qu’utilise Jacques en
illustration de ses billets.
Maintenant je sais.
Allez-y voir deux minutes mais
n’oubliez pas de revenir ensuite lire la suite de ce billet.
C’est bon, vous avez vu ?
Vous allez me dire que ce bouzin est totalement inutile, je vous l’accorde. (Tout
au moins pour le visiteur lambda)
Mais comme avec tous les trucs
inutiles, on y passe du temps, on bricole, on bidouille. J’étais donc en début
d’après-midi fort occupé ; entre autres choses ; à suivre la
progression d’un avion qui devait atterrir à Lesquin.
Sauf que.
Sauf que j’étais surtout censé
surveiller l’arrivée d’un de mes bateaux engagé dans la Clipper 2013-14, lequel
bateau à quelques milles d’Albany devait changer de cap pour parvenir à la zone
d’arrivée.
Et comme un malheur ne vient jamais seul, toujours à cause
de ces satanés trucs volants, le taulier de PMA est arrivé en retard à l’apéro.
J’en suis venu à ces deux
conclusions que je vous invite à méditer comme il se doit :
1/ Ne pas regarder les avions
dans le ciel quand on a un bateau sur l’eau.
2/ Ne pas regarder les
avions dans le ciel quand c’est l’heure du bistrot.