Ne jamais réagir à chaud, laisser passer la colère. Se rendre compte que quelques heures plus tard elle n'est toujours pas retombée.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Se dire que ça vaudrait bien la peine de se mettre à écrire un billet puis abandonner l'idée. A quoi bon. Personne ne le lira.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Ici ou ailleurs, d'autres ont déjà dit tout ce qu'il y avait à dire. Etre en colère toutefois.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Etre en colère parce qu'une poignée d'imbéciles n'ont toujours pas compris qu'il ne faut pas tout mélanger.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Etre en colère parce que certains n'ont plus de respect, plus de repères. Parce qu'il profitent d'une fenêtre médiatique
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
pour propager leur idées puantes. Etre en colère parce qu'aujourd'hui la récupération est devenue la règle.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Tu parles d'une règle ! Je vais te raconter une autre histoire.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
L'histoire de quelques dizaines de gosses qui sont allés hier matin se recueillir un moment devant le monument du village.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Bien sûr, ces histoires de guerre, de souvenir, d'Armistice... tout ça c'est un peu flou dans leurs esprits.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Mais ils étaient là, silencieux, recueillis, respectueux.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Ces gamins auraient aussi bien pu traîner au lit, s'user les pouces sur la manette de la console. Ils étaient là pourtant.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Peut-être un peu poussés par le père ou le grand-père mais ils étaient là. Respectueux. Un espoir pour cette France qui déraille.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
C'est à nous de faire en sorte que ces gosses n'oublient pas, c'est à nous de faire en sorte que ce qui s'est passé hier ne s'oublie pas.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
A nous de faire en sorte que ce qui s'est produit hier ne se reproduise pas.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
Ne pas tout mélanger. Ce gars a bien raison. On ne doit pas tout mélanger.
— José Defrançois (@Defrancoisjose) November 12, 2013
La situation n'est facile pour personne. Mais les blogueurs doivent continuer : ne pas se laisser déborder par Twitter.
RépondreSupprimerAmitiés et tout ça. Je comprends ton coup de gueule et la manière de l'exprimer.
Manière sans doute maladroite. Noyé dans le flot continu des tweets ce coup de gueule sera passé presque inaperçu. Peu importe. Il fallait que certaines choses soient dites. Il me fallait les dire.
SupprimerMerci de ton soutien.
Beau billet. Je partage!
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerEffectivement, ne pas réagir à chaud, même si c'est difficile.
RépondreSupprimerDans un autre monde j'avais l'habitude (mauvaise d'ailleurs) d'aller au front, de réagir au quart de tour et le truc partait bien souvent en vrille... La sagesse venant avec les années (et quelques journées de formation par dessus), j'ai appris à temporiser, à me servir de la force des arguments de mon contradicteur pour mieux les démonter s'il y a lieu. Bref, tout ça ne m'empêche pas de m'indigner à l'occasion.
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