C’est chez Guy Birenbaum que
je l’ai découvert un matin de mai.
Arno.
A la fois classe et négligé,
un peu fracassé, peut-être un peu abimé aussi, il est de ces artistes touchants
que j’aime à retrouver.
Pas besoin de grands
artifices, juste sa présence.
ll faudrait surtout retrouver Birenbaum. Il manque, c't'andouille !
RépondreSupprimerOui aussi. Un peu comme un voisin que tu ne vois plus un matin, tu ne lui parle pas forcément, juste un bonjour, un clin d'œil au passage. Il te manque pourtant.
SupprimerJ'aime beaucoup Arno moi aussi.
RépondreSupprimerJe ne connais pas grand chose du répertoire de ce bonhomme néanmoins je le retrouve toujours avec énormément de plaisir au hasard de mes vadrouilles musicales.
SupprimerRatata ! J'en ai éclusé des godets avec Arno en après-concert ! C'était dans une autre vie, quand j'étais belge....
RépondreSupprimerMais tu as eu combien de vies ? Ne réponds pas, je ne veux pas savoir.
SupprimerJ'aurais bien aimé pouvoir traîner avec vous ces soirs là, me saouler de mots, une autre forme d'ivresse.
Guy bosse trop. Excellent trouvaille en tout cas !
RépondreSupprimerSans doute oui. Encore que je n'en sais rien. Peut-être fatigué de ce cirque permanent, ou autre chose. Ce qu'il y a de certain c'est qu'il manque à mon micro-univers.
SupprimerMerci d’avoir passé un moment ici.