vendredi 9 janvier 2015

"Émotions (ou colére ?)"

La donne a changé depuis ce matin.

Les assassins ne nuiront plus.

 Il n’en reste pas moins que je ne souhaite pas retirer un seul mot de ce que j’ai pu écrire ce matin. Des tweets à la volée. Les uns derrière les autres. Laisser les mots s’écouler.

Un monologue inutile.

Et pourtant il existe.

Perdus parmi tant d’autres, mes mots vivent maintenant dans l’immensité.

Des mots pour essayer de tarir la peine, le chagrin. Des mots pour essayer d’évacuer la colère.

J’ai voulu en garder la trace ici. Je vous les livre tels qu’ils sont. 

Merci Nicolas de ne pas m'en vouloir d'avoir "emprunté" le titre de ton billet
























C'étaient encore les petites heures, ma station habituelle au bistrot.

5 commentaires:

  1. Réponses
    1. Et comme un bourricot que je suis, j'ai oublié le lien vers chez toi....Pardon et merci.

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  2. « J'ai bavardé toute la journée. »

    Fainéant ! Tous les prétextes sont bons pour ne rien foutre, alors ? Si c'est comme ça que vous comptez redresser la France, en vous croisant les bras à la moindre contrariété…

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    1. Alors là mon cher Didier, permettez moi de vous dire que vous avez un sacré culot !
      Qui vitupère à longueur de ligne quand il doit se rendre à Levallois pour effectuer quelques heures de travail dont je suppose qu'il ne doit pas être bien fatiguant ?
      Si je ne m'abuse, il me semble même avoir lu dans un de vos journaux, que vous aviez passé une journée au bureau à ne rien fiche. Et si c'était la seule....
      Alors je crois qu'en matière de flemme, la "contrariété" en moins pour vous, nous sommes sur un pied d'égalité.

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    2. Je dois reconnaître que j'ai un peu joué à l'hôpital se foutant de la charité…

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